Antonin, 13 ans, baskin (basket inclusif)Passionné de foot et de basket, Antonin jouait seul sur un terrain de quartier, et parfois au collège, mais il ne participait pas aux compétitions. Il a découvert le baskin lors d'une journée paralympique en 2023 avec l'association Novosports. Ce sport inclusif, dans lequel joueurs valides ou porteurs de différents handicaps pratiquent ensemble, lui permet enfin de jouer avec des règles adaptées, d'avoir sa place comme tous les autres joueurs, et de s'épanouir dans l'activité qu'il aime. Antonin, 13 ans, baskin (basket inclusif)Passionné de foot et de basket, Antonin jouait seul sur un terrain de quartier, et parfois au collège, mais il ne participait pas aux compétitions. Il a découvert le baskin lors d'une journée paralympique en 2023 avec l'association Novosports. Ce sport inclusif, dans lequel joueurs valides ou porteurs de différents handicaps pratiquent ensemble, lui permet enfin de jouer avec des règles adaptées, d'avoir sa place comme tous les autres joueurs, et de s'épanouir dans l'activité qu'il aime. Antonin, 13 ans, baskin (basket inclusif)Passionné de foot et de basket, Antonin jouait seul sur un terrain de quartier, et parfois au collège, mais il ne participait pas aux compétitions. Il a découvert le baskin lors d'une journée paralympique en 2023 avec l'association Novosports. Ce sport inclusif, dans lequel joueurs valides ou porteurs de différents handicaps pratiquent ensemble, lui permet enfin de jouer avec des règles adaptées, d'avoir sa place comme tous les autres joueurs, et de s'épanouir dans l'activité qu'il aime. Antonin, 13 ans, baskin (basket inclusif)Passionné de foot et de basket, Antonin jouait seul sur un terrain de quartier, et parfois au collège, mais il ne participait pas aux compétitions. Il a découvert le baskin lors d'une journée paralympique en 2023 avec l'association Novosports. Ce sport inclusif, dans lequel joueurs valides ou porteurs de différents handicaps pratiquent ensemble, lui permet enfin de jouer avec des règles adaptées, d'avoir sa place comme tous les autres joueurs, et de s'épanouir dans l'activité qu'il aime. Jérôme Rousseau, 26 ans, foot-fauteuil et baskin (basket inclusif).Enfant, Jérôme rêve de jouer au football avec ses frères et ses amis. Sa passion pour ce sport le pousse à obtenir de très bons résultats scolaires afin d'intégrer le lycée de Vaucresson qui propose du foot fauteuil. Cela l'emmènera jusqu'aux championnats de France, qu'il remporte avec son équipe en 2019. En 2022, il crée Novosports, association de sport collectif inclusif qui fait pratiquer ensemble des personnes quelles que soit leurs capacités, grâce à un règlement adapté à chacun. Pour Jérôme, "le sport inclusif permet de pratiquer l'activité qu'on aime, pas celle qu'on vous impose". Jérôme Rousseau, 26 ans, foot-fauteuil et baskin (basket inclusif).Enfant, Jérôme rêve de jouer au football avec ses frères et ses amis. Sa passion pour ce sport le pousse à obtenir de très bons résultats scolaires afin d'intégrer le lycée de Vaucresson qui propose du foot fauteuil. Cela l'emmènera jusqu'aux championnats de France, qu'il remporte avec son équipe en 2019. En 2022, il crée Novosports, association de sport collectif inclusif qui fait pratiquer ensemble des personnes quelles que soit leurs capacités, grâce à un règlement adapté à chacun. Pour Jérôme, "le sport inclusif permet de pratiquer l'activité qu'on aime, pas celle qu'on vous impose". Jérôme Rousseau, 26 ans, foot-fauteuil et baskin (basket inclusif).Enfant, Jérôme rêve de jouer au football avec ses frères et ses amis. Sa passion pour ce sport le pousse à obtenir de très bons résultats scolaires afin d'intégrer le lycée de Vaucresson qui propose du foot fauteuil. Cela l'emmènera jusqu'aux championnats de France, qu'il remporte avec son équipe en 2019. En 2022, il crée Novosports, association de sport collectif inclusif qui fait pratiquer ensemble des personnes quelles que soit leurs capacités, grâce à un règlement adapté à chacun. Pour Jérôme, "le sport inclusif permet de pratiquer l'activité qu'on aime, pas celle qu'on vous impose". Jérôme Rousseau, 26 ans, foot-fauteuil et baskin (basket inclusif).Enfant, Jérôme rêve de jouer au football avec ses frères et ses amis. Sa passion pour ce sport le pousse à obtenir de très bons résultats scolaires afin d'intégrer le lycée de Vaucresson qui propose du foot fauteuil. Cela l'emmènera jusqu'aux championnats de France, qu'il remporte avec son équipe en 2019. En 2022, il crée Novosports, association de sport collectif inclusif qui fait pratiquer ensemble des personnes quelles que soit leurs capacités, grâce à un règlement adapté à chacun. Pour Jérôme, "le sport inclusif permet de pratiquer l'activité qu'on aime, pas celle qu'on vous impose". Seynna, 11 ans, à l’association J’imaginerais.Seynna aime le sport. Elle a déjà pratiqué du judo, de l'athlétisme, et de la natation adaptée. Un samedi sur deux, elle suit désormais le programme sportif de l'association J'imaginerais. En tant qu'enfant avec autisme, ce rendez-vous sportif est pour elle une occasion de rencontrer de nouvelles personnes, découvrir des règles de jeu et de communication, de s'ouvrir aux autres. Seynna, 11 ans, à l’association J’imaginerais.Seynna aime le sport. Elle a déjà pratiqué du judo, de l'athlétisme, et de la natation adaptée. Un samedi sur deux, elle suit désormais le programme sportif de l'association J'imaginerais. En tant qu'enfant avec autisme, ce rendez-vous sportif est pour elle une occasion de rencontrer de nouvelles personnes, découvrir des règles de jeu et de communication, de s'ouvrir aux autres. Seynna, 11 ans, à l’association J’imaginerais.Seynna aime le sport. Elle a déjà pratiqué du judo, de l'athlétisme, et de la natation adaptée. Un samedi sur deux, elle suit désormais le programme sportif de l'association J'imaginerais. En tant qu'enfant avec autisme, ce rendez-vous sportif est pour elle une occasion de rencontrer de nouvelles personnes, découvrir des règles de jeu et de communication, de s'ouvrir aux autres. Seynna, 11 ans, à l’association J’imaginerais.Seynna aime le sport. Elle a déjà pratiqué du judo, de l'athlétisme, et de la natation adaptée. Un samedi sur deux, elle suit désormais le programme sportif de l'association J'imaginerais. En tant qu'enfant avec autisme, ce rendez-vous sportif est pour elle une occasion de rencontrer de nouvelles personnes, découvrir des règles de jeu et de communication, de s'ouvrir aux autres. Cédric Nankin, 39 ans, athlète paralympique de rugby fauteuilCédric découvre le rugby fauteuil à 24 ans. A l'époque, il cherche du travail et rencontre Ryadh Sallem, créateur de l'association CAP SAAA. Ce dernier convainc Cédric d’intégrer l’équipe de rugby fauteuil. Rapidement, Cédric devient sportif de haut niveau et participe à de multiples compétitions internationales. Son plus beau souvenir, c'est la première fois que son équipe remporte le championnat d'Europe en 2022 : "c'était magique !". Actuel vice-capitaine de l’équipe de France de rugby-fauteuil, il s'entraîne quotidiennement en faisant du CrossFit, et avec deux entraînements collectifs hebdomadaires. Aujourd'hui salarié de la SNCF, il fait partie du dispositif Athlètes SNCF lui permettant d'avoir le temps nécessaire à la préparation des Jeux Paralympiques de Paris 2024. Son conseil ? "Essayez ce que vous ne connaissez pas, tentez l'aventure !" Cédric Nankin, 39 ans, athlète paralympique de rugby fauteuilCédric découvre le rugby fauteuil à 24 ans. A l'époque, il cherche du travail et rencontre Ryadh Sallem, créateur de l'association CAP SAAA. Ce dernier convainc Cédric d’intégrer l’équipe de rugby fauteuil. Rapidement, Cédric devient sportif de haut niveau et participe à de multiples compétitions internationales. Son plus beau souvenir, c'est la première fois que son équipe remporte le championnat d'Europe en 2022 : "c'était magique !". Actuel vice-capitaine de l’équipe de France de rugby-fauteuil, il s'entraîne quotidiennement en faisant du CrossFit, et avec deux entraînements collectifs hebdomadaires. Aujourd'hui salarié de la SNCF, il fait partie du dispositif Athlètes SNCF lui permettant d'avoir le temps nécessaire à la préparation des Jeux Paralympiques de Paris 2024. Son conseil ? "Essayez ce que vous ne connaissez pas, tentez l'aventure !" Cédric Nankin, 39 ans, athlète paralympique de rugby fauteuilCédric découvre le rugby fauteuil à 24 ans. A l'époque, il cherche du travail et rencontre Ryadh Sallem, créateur de l'association CAP SAAA. Ce dernier convainc Cédric d’intégrer l’équipe de rugby fauteuil. Rapidement, Cédric devient sportif de haut niveau et participe à de multiples compétitions internationales. Son plus beau souvenir, c'est la première fois que son équipe remporte le championnat d'Europe en 2022 : "c'était magique !". Actuel vice-capitaine de l’équipe de France de rugby-fauteuil, il s'entraîne quotidiennement en faisant du CrossFit, et avec deux entraînements collectifs hebdomadaires. Aujourd'hui salarié de la SNCF, il fait partie du dispositif Athlètes SNCF lui permettant d'avoir le temps nécessaire à la préparation des Jeux Paralympiques de Paris 2024. Son conseil ? "Essayez ce que vous ne connaissez pas, tentez l'aventure !" Cédric Nankin, 39 ans, athlète paralympique de rugby fauteuilCédric découvre le rugby fauteuil à 24 ans. A l'époque, il cherche du travail et rencontre Ryadh Sallem, créateur de l'association CAP SAAA. Ce dernier convainc Cédric d’intégrer l’équipe de rugby fauteuil. Rapidement, Cédric devient sportif de haut niveau et participe à de multiples compétitions internationales. Son plus beau souvenir, c'est la première fois que son équipe remporte le championnat d'Europe en 2022 : "c'était magique !". Actuel vice-capitaine de l’équipe de France de rugby-fauteuil, il s'entraîne quotidiennement en faisant du CrossFit, et avec deux entraînements collectifs hebdomadaires. Aujourd'hui salarié de la SNCF, il fait partie du dispositif Athlètes SNCF lui permettant d'avoir le temps nécessaire à la préparation des Jeux Paralympiques de Paris 2024. Son conseil ? "Essayez ce que vous ne connaissez pas, tentez l'aventure !" Inès Beraich, 23 ans, athlète marathonienneDepuis l'âge de 5 ans, Inès pratique une activité sportive. Elle a commencé par le foot, la fenêtre de sa chambre donnant sur le stade. A 15 ans, une rupture des ligaments croisés l'oblige à changer de sport et elle se met à la boxe anglaise. Alors qu'elle se prépare au championnat de boxe, elle a un grave accident de voiture et ne peut plus marcher.Très vite, elle se projette dans le handisport qu'elle pourra pratiquer. Après des mois de rééducation intensive, elle arrive à remarcher et se met à la course qui lui permet de "donner le tempo, d'être à l'écoute des besoins et rythmes de son corps". Aujourd'hui, elle souhaite devenir la 1ère Française et 6 ème femme au monde à courir les 6 plus grands marathons du monde appelés les «World Marathon Major», avant ses 25 ans. Inès Beraich, 23 ans, athlète marathonienneDepuis l'âge de 5 ans, Inès pratique une activité sportive. Elle a commencé par le foot, la fenêtre de sa chambre donnant sur le stade. A 15 ans, une rupture des ligaments croisés l'oblige à changer de sport et elle se met à la boxe anglaise. Alors qu'elle se prépare au championnat de boxe, elle a un grave accident de voiture et ne peut plus marcher.Très vite, elle se projette dans le handisport qu'elle pourra pratiquer. Après des mois de rééducation intensive, elle arrive à remarcher et se met à la course qui lui permet de "donner le tempo, d'être à l'écoute des besoins et rythmes de son corps". Aujourd'hui, elle souhaite devenir la 1ère Française et 6 ème femme au monde à courir les 6 plus grands marathons du monde appelés les «World Marathon Major», avant ses 25 ans. Inès Beraich, 23 ans, athlète marathonienneDepuis l'âge de 5 ans, Inès pratique une activité sportive. Elle a commencé par le foot, la fenêtre de sa chambre donnant sur le stade. A 15 ans, une rupture des ligaments croisés l'oblige à changer de sport et elle se met à la boxe anglaise. Alors qu'elle se prépare au championnat de boxe, elle a un grave accident de voiture et ne peut plus marcher.Très vite, elle se projette dans le handisport qu'elle pourra pratiquer. Après des mois de rééducation intensive, elle arrive à remarcher et se met à la course qui lui permet de "donner le tempo, d'être à l'écoute des besoins et rythmes de son corps". Aujourd'hui, elle souhaite devenir la 1ère Française et 6 ème femme au monde à courir les 6 plus grands marathons du monde appelés les «World Marathon Major», avant ses 25 ans. Inès Beraich, 23 ans, athlète marathonienneDepuis l'âge de 5 ans, Inès pratique une activité sportive. Elle a commencé par le foot, la fenêtre de sa chambre donnant sur le stade. A 15 ans, une rupture des ligaments croisés l'oblige à changer de sport et elle se met à la boxe anglaise. Alors qu'elle se prépare au championnat de boxe, elle a un grave accident de voiture et ne peut plus marcher.Très vite, elle se projette dans le handisport qu'elle pourra pratiquer. Après des mois de rééducation intensive, elle arrive à remarcher et se met à la course qui lui permet de "donner le tempo, d'être à l'écoute des besoins et rythmes de son corps". Aujourd'hui, elle souhaite devenir la 1ère Française et 6 ème femme au monde à courir les 6 plus grands marathons du monde appelés les «World Marathon Major», avant ses 25 ans. Ikram, 30 ans et Laure, 35 ans, HANDIBOXEUn jeudi sur deux, Ikram et Laure se rendent à la salle de boxe avec leurs camarades du foyer du Pont de Flandre. Elles sont accueillies par Yann et Florian, membres de l'association Apollo qui se battent au quotidien pour une boxe plus inclusive. Prochain défi : installer une rampe d'accès sur le ring. Pour les deux jeunes femmes, la boxe est une activité qui leur permet de se défouler, de se sentir bien. Ikram, 30 ans et Laure, 35 ans, HANDIBOXEUn jeudi sur deux, Ikram et Laure se rendent à la salle de boxe avec leurs camarades du foyer du Pont de Flandre. Elles sont accueillies par Yann et Florian, membres de l'association Apollo qui se battent au quotidien pour une boxe plus inclusive. Prochain défi : installer une rampe d'accès sur le ring. Pour les deux jeunes femmes, la boxe est une activité qui leur permet de se défouler, de se sentir bien. Un jeudi sur deux, Ikram et Laure se rendent à la salle de boxe avec leurs camarades du foyer du Pont de Flandre. Elles sont accueillies par Yann et Florian, membres de l'association Apollo qui se battent au quotidien pour une boxe plus inclusive. Prochain défi : installer une rampe d'accès sur le ring. Pour les deux jeunes femmes, la boxe est une activité qui leur permet de se défouler, de se sentir bien. Un jeudi sur deux, Ikram et Laure se rendent à la salle de boxe avec leurs camarades du foyer du Pont de Flandre. Elles sont accueillies par Yann et Florian, membres de l'association Apollo qui se battent au quotidien pour une boxe plus inclusive. Prochain défi : installer une rampe d'accès sur le ring. Pour les deux jeunes femmes, la boxe est une activité qui leur permet de se défouler, de se sentir bien. Un jeudi sur deux, Ikram et Laure se rendent à la salle de boxe avec leurs camarades du foyer du Pont de Flandre. Elles sont accueillies par Yann et Florian, membres de l'association Apollo qui se battent au quotidien pour une boxe plus inclusive. Prochain défi : installer une rampe d'accès sur le ring. Pour les deux jeunes femmes, la boxe est une activité qui leur permet de se défouler, de se sentir bien. PORTFOLIO / COMMANDES